Je pars quelques jours, (pas en Martinique hélas.......................)

Je vous donnerai des nouvelles à mon retour, comme dab................

En attendant je vous souhaite une bonne semaine !!!!!!

J'ai reçu cette magnifique carte postale et une foule de souvenirs me reviennent en mémoire : Alphonse Daudet et les lettres de mon moulin, un livre que j'avais quand j'étais gosse, je m'en souviens comme si c'était hier.

Et puis la Provence, les cigales....................... Le SOLEIL !!!!!!!!!!!!!!!!

Pêle-mêle : mon fils, ma fille et moi sur les chevaux de bois.

Les manèges de chevaux de bois sont souvent équipés d'un gros orgue de barbarie appelé Limonaire, du nom d'une célèbre manufacture d'orgue de foire : Limonaire frères 166 avenue Daumesnil à Paris. (c'est devenu un nom commun au fil des ans).

On retrouve parfois ce genre d'attraction dans les festivals de musique mécanique, pour le bonheur des petits et des grands !!!!!!

(Ma fille dans un festival de musique mécanique en 1994)

Celui qui ne comprend pas un regard

Ne comprendra pas non plus un long discours.

Un livre que j'ai trouvé dans une brocante en 2007, que j'ai lu et relu, et qui m'a coforté dans mon rêve d'aller à St Jacques de Compostelle avec ou sans âne.

" Ce matin là, sous l'orage, le 26 avril 1993, Ferdinand, petit âne tout marron, chargé de bagages, et son maitre Jacques, quittaient la basilique du Puy en Velay, au coeur de l'Auvergne.

C'était le début d'une fabuleuse aventure, qui allait les mener en 70 jours de marche à Santiago de Compostella, à l'extrémité de la Gallice.

1700 kilomètres de pluie, de soleil, de poussière, de paysages meveilleux, de rencontres. Une expérience très belle et inoubliable, dans laquelle tous les aspects du pélerinage de Compostelle se cofondent : spirituel, religieux, culturel, sportif ou plus simplement recherche de soi.

Partout où il passait, Ferdinand attirait la sympathie et les caresses, ouvrait les coeurs et déclenchait les sourires ".