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J'avais déjà mis deux articles similaires il y a quelques années
mais qui s'en souvient ???
La cascade de Glandieu est une cascade située dans le hameau de Glandieu, à la frontière des communes de Brégnier-Cordon et de Saint-Benoît dans la région de Belley (Ain). Ses eaux vont se jeter dans le Rhône.
Son débit et le décor changent au fil des saisons, parfois au printemps
à la fonte des neiges, il est difficile de s'approcher avec un appareil photo.
(avec ma fille en 2007)
La cascade c'est aussi une chanson que je chante ici
avec mon orgue de barbarie......
Je vous souhaite un bon week-end !!!
11 commentaires -
Par gitantroubadour dans Articles populaires – Le blog de Gitantroubadour le 29 Janvier 2015 à 08:59
Quelques photos que j'ai rapportées de mon passage en Bresse (Ain) en septembre 2014. J'en ai déjà mis quelques unes sur le blog mais aujourd'hui je reviens plus en détails sur "la cheminée sarrasine"
La cheminée sarrasine ou cheminée sarrazine est un type de cheminée typique de la région naturelle de la Bresse, en particulier sur les toits des fermes bressanes. On peut la trouver, en moindre quantité, dans d’autres régions.
À l'extérieur, cette cheminée typique a l'aspect d'un minaret ou d'un petit clocher. Généralement surmontée d'une croix, elle correspond avec un foyer placé au centre de la pièce, dont on pouvait faire complètement le tour. C'est une cheminée inspirée de celle de la hutte primitive, feu central et fumée s'échappant par un orifice au centre de la toiture. Cette ouverture devant être fort large, on dut parer à l'inconvénient qui pouvait résulter de la pénétration de la pluie et du vent, en la surmontant d'une cheminée très élevée, munie d'étages superposés, de baies latérales, tout comme les lanternes des clochers. (source wikipédia)
Sous l'avant toit un balcon qui servait également d'abri pour le vélo, la cage à fromage et les épis de maïs.........
A l'intérieur de l'unique pièce, le foyer et le chaudron, le conduit pour évacuer la fumée, la table et au dessus une poutre où chacun rangeait ses couverts. (je me souviens quand j'étais gosse, les anciens racontaient que le maître de maison avait un couteau pliant, quand il avait fini de manger il le pliait en le faisant claquer et les ouvriers devaient également avoir terminés et se lever pour aller travailler).
Au fond de la pièce on peut remarquer le lit, fermé par des rideaux.
Et je termine avec quelques photos pour sourire,
prises en Bresse également.............
Bonne journée à tous !!!!
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Par gitantroubadour dans Articles populaires – Le blog de Gitantroubadour le 27 Janvier 2015 à 17:32
Bienvenue dans mon nouvel espace
(sans pub, enfin j'espère...........)
Il va falloir un peu de temps pour que je m'habitue,
mais ça devrait aller !!!!
7 commentaires -
Par gitantroubadour dans Articles populaires – Le blog de Gitantroubadour le 26 Janvier 2015 à 12:00(Photos persos prises en Italie)"On écrit sur les murs le nom de ceux qu'on aime" chantait Demis, aujourd'hui c'est "Rain And Tears". Souvenirs, souvenirs................
7 commentaires -
Par gitantroubadour dans Articles populaires – Le blog de Gitantroubadour le 25 Janvier 2015 à 12:00
Entre Cévennes et Camargue coule un fleuve agréable, le Vidourle......
Les mouettes se font coquettes pour épater les canards.....
La balustrade et le platane forment un vieux couple,
ils sont désormais inséparables..........
Tranquille "le Vidourle" ??? Pas toujours, il lui arrive parfois de se mettre en colère en cas de "Vidourlade" (crues dangereuses)
Ce week-end c'est le mistral qui est colère, il ne fait pas bon se promener au bord du Rhône. Il existe de nombreuses légendes sur le mistral, en voici une que j'ai trouvée sur le net :
<< Le mistral, bien qu'il soit le maître de tous les vents, il n'en demeure pas moins qu'il hante la Provence. Il balaie de son souffle les terres, on dit que le mistral est un vent grincheux et impérieux.
On prétend qu'il prend naissance au sein des marais du Vivarais, sous l'arche géante d'un rocher ajouré d'où surgit son sonore bruit. Là, il se gonfle et amplifie ses tourbillons, renforce ses bourrasques, avant de partir en rafales.Inquiets devant ses imprévisibles accés de colère, des villageois décidèrent un jour de le "barricader". Pendant que le mistral était calme, les habitants clouèrent sur chaque pilier du bloc, de solides planches, très dures et très épaisses. A son réveil, le mistral se mit à souffler sur ces planches, mais elles resistèrent à sa forçe ravageuse et à ses accès de colère. Le mistral fût prisonnier et ne put s'évader.
Le Mistral, très fâché, leur dit:
- Quand je parviendrai à me libérer, je déracinerai tout sur mon passage, les tuiles, les arbres, les clôtures. Il ne restera rien!
- Raison de plus, pour te laisser enfermé... s'écrient les villageois.
- Je vous maudis ! dit le mistral.
- Que tout soit désolation. Que vos terres soient infestées de moustiques. Que l'eau soit en putréfaction et que vos maisons soient sales. Que les fièvres fassent périr vos enfants et vos vieillards ! Ainsi vous regretterez vos agissements...
L'été venu, une chaleur insoutenable s'abattit sur la Provence. Bientôt se manifestent les signes avant-coureurs d'une épidémie. Des odeurs effroyables envahissent les rues et ruelles. Des insectes agressifs piquent les enfants à la peau veloutée et les anciens à la peau ridée.
Tous les malheurs du monde semblent s'abattre sur le village. Ils décident alors de libérer le vent, car son passage dans la région était finalement bénéfique. Il asséchait les terres détrempées, dissipait les nuages et les brumes étouffantes. Il aidait aussi à mûrir les fruits. Il faisait du bien à la nature.Les villageois décidèrent, donc, de libérer le vent.
- Sinon, la peste s'abattra sur nos troupeaux. Il vaut mieux être transpercés de froid et qu'il emporte quelques branches sur son passage, plutôt que de prolonger cette mauvaise plaisanterie.
Le mistral entendit une partie des débats entre paysans et prit la parole. Il promit doucement:
- Si vous me laissez sortir, je ne déracinerai pas vos arbres fruitiers, les tuiles de vos maisons, les clôtures de vos jardins...
Tous furent perplexes, mais finirent par le libérer.
Aussitôt, le mistral s'engouffra dans l'ouverture et se rua dehors. Les paysans , muets et craintifs, attendaient sans bouger. C'est alors, qu'un enfant, s'approcha du maître des vents, et protesta:
- Et ta promesse, alors ?
Le vent déchaîné s'apaisa tout de suite. Subitement, il câlina les arbres, il frôla les tuiles des maisons, il chatouilla les clôtures des jardins.
Bientôt, les misères qu'avaient enduré les braves paysans furent reléguées au rang des mauvais souvenirs, le mistral s'en alla alors souffler ailleurs, dans la vallée du Rhône, grondant et grommelant vers les plaines du midi ...
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