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    Une idée cadeau originale, un prénom personnalisé....

    Jules, mon petit-fils, déjà un grand pêcheur....

     

    Lana, ma petite-fille qui adore les licornes...

     

    Ou alors Gabriella, une petite-nièce, sa maman élève des chèvres.

     

    A suivre..... wink2

     

    Si vous aussi vous voulez un cadeau personnalisé,

    allez visiter la page Facebook ou le blog de :

    Sandycréabois Chantournage

    En cliquant sur l'un ou l'autre des deux bandeaux ci-dessous.

     

     

    Je vous souhaite un bon début de semaine !!!

     


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  • Le violon du diable

    On rencontre parfois dans les fêtes, des instruments de musique curieux, comme ici aux Gêts (Haute Savoie) en 1994.

    ( Désolé pour la qualité de l'image mais c'est une photo qui a bientôt trente ans...)

     

    Le violon du diable

    J'ai trouvé l'origine de celui-ci, dans un livre emprunté à ma médiathèque.

    Parmi les instruments divers, il en est de surprenants, encore utilisés de nos jours, tel le violon du diable.

    Son nom en langue lorraine, deiwelsgaï, proviendrait du vieux dicton << Er macht e balawer wie zehn deiwele >> (il fait du bruit comme dix diables). Cet instrument date de la fin du XIXème siècle.

    C'est un instrument de percussion que l'on frappe sur le sol verticalement, ce qui fait raisonner les cymbales, les clochettes et autres objets bruyants dont il est est équipé.

    De plus, à mi-hauteur se trouve une sorte de tambourin frappé avec une baguette, cela donne un ensemble hétéroclite bien particulier.

    Les ornements sont complétés par des rubans et sur le haut une tête de diable termine cet étrange instrument.

    C'était l'instrument du pauvre, confectionné par le joueur lui même, avec des matériaux de récupération.... ( Source texte, dans le livre )

     

     


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  • Rouge coquelicots

    Des photos que j'avais déjà mises sur mon blog....

    Des coquelicots partout, jusque sur mon ancien orgue de barbarie !!!

     

    Rouge coquelicots

    " La terre était furieuse

    et a rendu son feu

    dans le rouge du sang velours

    au piment et aux volcans 

    dans le frémissement des coquelicots "

     

    Extrait d'un poème de Ana Gouverneur, traduit de l'espagnol...

    Vous pouvez le retrouver en intégralité sur sa page Facebook,

    en cliquant sur : ANA ALCAIDE MUSICA

     


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    Négo-chin et saladelle

    Dimanche matin nous avons fait une sortie en Négo-chin dans les marais.

    Un Nègo Chin est un type de petit bateau à fond plat utilisé principalement par les pêcheurs sur les rivières du sud-est de la France. C’est une embarcation légère, rapide et maniable.
    ( source texte : Wikipédia)

     

    Négo-chin et saladelle

    Dans le strict respect des règles sanitaires évidemment !!!

     

    Négo-chin et saladelle

    Au retour nous avons fait une pause près d'une cabane de gardians...

     

    Négo-chin et saladelle

    pour découvrir la flore locale, comme l'iris jaune des marais

     

    Négo-chin et saladelle

    La Saladelle, la fleur des gardians !!!

    ( A gauche en ce moment, à droite en fleurs à la fin de l'été...)

    Statice limonium, cette fleur est caractéristique des sansouires, ces plaines salées des terres de Camargue.

    Gorgée de sel, sa tige est souvent recouverte d’une fine pellicule blanche d’écume salée.

     

    Chaque année, ses petites fleurs bleues apparaissent à la fin de l'été. Les hommes l’accrochent à leurs boutonnières et les femmes aux broches de leurs fichus.

     

    Négo-chin et saladelle

    Fête de la saladelle aux Stes Maries de la Mer, septembre 2011.

     

    Vous avez remarqué qu'en ce moment je ne publie pas beaucoup.

     

    Je voudrais faire passer un message à mes amis (es) qui publient souvent, voir tous les jours, je ne peux pas passer sur vos blogs à chaque nouvelle publication, merci de votre compréhension.... 


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  • Une idée que j'ai prise sur le blog de Jean-François

    Si vous voulez lui rendre visite, cliquez sur le bandeau.

    La légende des chats d'Angeline

     

    C'est en écoutant une grand-mère raconter à ses petits enfants la légende des chats d'Angéline, qu'un sculpteur Orléanais aujourd'hui décédé, Maurice SERREAU, eut l'idée de la faire revivre en déposant des sculptures de chats autour de la place.

    En l'an de grâce 1338, dans un village de Gascogne appelé LA ROMIEU, célèbre par sa belle collégiale édifiée depuis 20 ans, vivaient heureux Vincent et Mariette. Il était bûcheron, et sa femme l'accompagnait souvent dans la forêt pour faire les fagots. Ils travaillaient dur, mais avec les volailles, le cochon, les légumes et les fruits du jardin, la table était garnie. Ils étaient mariés depuis 3 ans, lorsque Mariette mit au monde une petite fille qu'ils appelèrent Angéline. Hélas Vincent fût écrasé par un arbre qu'il abattait. Mariette, inconsolable, se laissa dépérir et deux mois plus tard, elle fut trouvée morte, tenant Angéline dans ses bras.

     

    La légende des chats d'Angeline

    Ma première petite-fille, décembre 2008 )

    La petite fût recueillie par une voisine, et grandit avec ses enfants comme leur soeur. Angéline montrait une grande attirance pour les chats. Il y en avait toujours 2 ou 3 autour d'elle qui, la nuit, dormaient dans son lit. Elle partageait souvent son écuelle avec eux.

    Angéline au fil des ans, devenait une solide jeune fille qui aidait bien ses parents adoptifs aux travaux des champs, toujours accompagnée de ses chats. L'an 1342 et les 2 années suivantes, l'hiver fut rude, et le printemps et l'été si pluvieux qu'il ne fut pas possible d'ensemencer les champs. Il s'ensuivit une grande disette et malgré la distribution par le seigneur Arnaud d'Aux des réserves de la Collégiale, les habitants de LA ROMIEU n'eurent bientôt plus rien à se mettre sous la dent. Ils pensèrent alors aux chats, si nombreux dans le village, et en firent de la gibelotte.

    Les parents d'Angéline, sachant combien elle aimait les siens, acceptèrent qu'elle garde un chat et une chatte, à condition de bien les cacher, car les voisins ne demandaient qu'à leur tordre le cou. Angéline enfermait donc le jour les 2 minous dans le grenier, et la nuit les laissait sortir pour chasser. Mais la famine s'accentuait et beaucoup de villageois mouraient. Angéline et ses parents subsistaient péniblement, en récoltant des racines dans les bois, quelquefois des champignons, mais c'était piètre pitance. Très amoindris, ils purent néanmoins, surmonter cette triste période et des temps plus cléments permirent enfin de récolter de quoi vivre.

    Mais à LA ROMIEU, où les chats avaient disparu, les rats avaient proliféré au point de menacer les récoltes. Angéline, avec des précautions infinies, avait pu cacher ses chats et ils avaient eu plusieurs portées. C'était une vingtaine de greffiers qui s'ébattaient dans le grenier. Heureusement, la maison était isolée ;

    Les villageois se lamentaient devant les dégâts causés par les rats. C'est alors qu'Angéline annonça qu'elle allait lâcher une vingtaine de chatons que les habitants pourraient adopter. Les rats disparurent rapidement et c'est ainsi qu'Angéline sauva LA ROMIEU d'un nouveau malheur.

    La légende dit aussi que le visage d'Angéline, au fil des ans, ressembla de plus en plus à un chat et que ses oreilles se transformèrent en oreilles de chat.

    Source texte : La-Romieu.fr

    La légende des chats d'Angeline

     


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