Une photo que j'avais déja mise sur le blog, c'est une pochette de disque 33 tours que mon amie Nadia "la Sauvine" a déniché dans une brocante et m'a offert. A l'époque, certains blogueurs m'avaient demandés ce qu'il y avait sur ce disque, c'est l'orgue géant de Paul Bocuse, j'ai trouvé une vidéo correspondante sur youtube.

Sur la photo on peut voir Paul Bocuse à gauche, Paul Eynard, noteur de cartons assis au centre et Marc Fournier, facteur d'orgues à droite.

Un char que nous avions fait pour une fête du 15 août, en 1996, quinze ans déjà !!!

(Sur une photo en bas à droite, Marie et le petit ramoneur savoyard)

J'ai flouté les visages, j'avais l'autorisation de la carpe mais pas celle des pêcheurs !!!!

Hasard du calendrier, rien à voir avec l'article précédent, dimanche je me suis balladé autour du lac de Romagnieu. Situé en Isère près de l'A 43 Chambéry Lyon (sortie n° 11 St Genix sur Guiers) ce lac est très connu des pêcheurs et des carpistes en particulier. D'une superficie de 15 ha, il possède également une base de Loisirs. C'est un site très agréable !!!

Après avoir été pesée et photographiée, les carpes sont remises à l'eau. 

(Jean Louis si tu lis cet article, les photos nous les avons faites ensemble, d'ailleurs tu es sur une photo)

Je n'ai pas l'habitude de commenter l'actualité sur mon blog mais je voulais vous faire partager une info que j'ai entendu sur France bleu pays  de Savoie : la préfecture de Haute Savoie a pris des mesures de restrictions à l'encontre des pêcheurs amateurs et professionnels. Les eaux du lac sont trop pures et les poissons ne trouvent plus de nourriture, du coup ils ne grossissent plus et ne se reproduisent plus également. (j'ai vérifié nous ne sommes pas le 1° Avril).  Trop d'écologie tue l'écologie ????

A suivre...............

La légende des Edelweiss

La reine des neiges vivait autrefois au dessus des neiges éternelles. Elle était d'une beauté à faire fondre les coeurs. Les lutins qui l'entouraient en étaient férocement jaloux et leurs lances de cristal étaient toujours bien aigisées afin de décourager ceux qui oseraient s'aventurer à portée du regard de leur reine bien aimée.

Quand l'alpiniste ou l'imprudent chasseur s'imaginait voir le sourire de la dame des neiges dans un rayon de soleil, il grimpait, grimpait de plus en plus haut, inconscient du danger, fasciné par le regard si doux, les cheveux comme autant de fils d'argent, les yeux d'un bleu de ciel pur. L'aventureux se croit près du but, du sommet où se tient la créature de rêve. Déjà de son coeur monte une prière vers elle......... C'est à ce moment que les lutins surgissent sous la forme d'une écharpe de brume, d'une chute de pierre ou d'une corniche de glace se détachant. L'homme aveuglé, heurté, bousculé par les lances de cristal, titube, glisse, tente en vain de s'accrocher à son piolet, à ses crampons, rien n'y fait. Il tournoie et tombe au fond d'une crevasse.

Alors la reine des neiges se met à pleurer, les larmes jaillissent de ses yeux lumineux, roulent sur ses joues, tombent sur le glacier, coulent toujours plus bas et là, les larmes miraculeuses se transforment en fleurs étoilées : on les nomme les Edelweiss.

Je vous proposent d'écouter Jean d'en Haut, que beaucoup de personnes attribuent à tort au folklore savoyard. En fait c'est une chanson écrite en 1978 par un suisse, Michel Bühler. Voici la version originale avec un montage de photos perso.